Browsing Tag

français

19e arrondissement, Everything, Nos restaurants préférés

Mensae : à table !

août 4, 2016
Mensae : à table!

Cela fait un moment que je songe à vous parler du Mensae. Après y être allée une fois par mois dernièrement, je crois qu’il est temps de m’y coller.

Je pourrais commencer par vous parler du chef et de sa cuisine. Mais une fois n’est pas coutume, je préfère vous parler de l’équipe en salle. Qui est vraiment remarquable. Accueil toujours souriant et sympathique avec notamment un chef de salle, d’un professionnalisme incroyable tout en étant amical à souhait. Le Mensae c’est une ambiance qui vous fera vous sentir comme si vous êtiez dans le bistrot du quartier, un peu à la cool, avec l’envie de papoter avec les serveurs et de leur demander comment ça va chez eux.

Mais ne nous y trompons pas (attention, la cuisine arrive), c’est bien dans un restaurant de qualité que vous vous trouvez lorsque vous êtes attablés au Mensae.

Simplicité et choix des produits, duo gagnant!

Simplicité et choix des produits, duo gagnant!

La carte est courte, 3 entrées, 3 plats, 4 desserts. Mais aussi 3 propositions de portions apéritives à partager avec la tablée. Je crois qu’on a à peu près tout testé, qu’est ce que l’on a retenu ?

-       les propositions pour l’apéro : poêlée de sot l’y laisse ou cuisses de grenouille aillée comme il se doit, difficile de choisir, alors pourquoi le faire ? Les deux valent le détour et surtout, vous n’en trouverez pas dans tous les restaurants parisiens.

-       Les plats : de succulentes viandes, à la cuisson parfaite. Et surtout, surtout, des jus incroyables qui vous feront saucer jusqu’à la dernière goutte de votre plat. Clairement, ces jus sont une tuerie. C’est dit !

-       Le dessert. Et je dis bien LE dessert. Oui il y en a 4 et ils sont ma foi, tous très bon, mais si on vient aussi souvent dans ce restaurant, c’est clairement pour leur mousse au chocolat pralinée. Je le dis, c’est vraiment la meilleure que j’ai mangé de toute ma vie. Délicatement liquide, accompagnée d’une boule de glace vanille maison, d’une mousse de lait et surtout de morceaux de praliné que vous découvrez en bouche, apportant une touche légèrement salée et craquante, c’est une tuerie. Maintenant, on n’a même plus honte d’en commander une double dose à chaque fois.

 

Agneau et THE mousse au chocolat

Agneau et THE mousse au chocolat. Ok là, elle paie peut être pas de mine, mais croyez nous elle vaut le détour.

A noter, le Mensae propose 2 services pour le diner les vendredi et samedi, ce classique parisien que j’exècre. Autant préférer y manger le reste de la semaine pour prendre son temps !

Également deux places au bar, à demander à la réservation. Mais pas de vraie vue sur la cuisine si c’est ce que vous espérez.

 

Niveau tarif, ça dit quoi ? Le rapport qualité prix est selon moi excellent pour la qualité des plats du restaurant.

Un menu entrée/plat/dessert à 36 €, c’est assez rare. L’addition peut cependant vite monter avec les petites gourmandises de l’apéro et les suppléments au menu. la carte change assez régulièrement, mais je m’assure toujours en réservant que la mousse est toujours de la partie.

Ah et j’oubliais, last but not least, le chef du Mensae c’est Kevin D’Andrea, candidat de Top Chef 2015 qui a ouvert ce restaurant avec Thibault Sombardier, ex Top Chef aussi.

Bon appétit !!

 

L’avis de Louis :

Il y’a des endroits qu’on essaie, les nouveautés à la mode où on va et on oublie, et il y’a le Mensae… C’est un endroit génial, simple, comme à la maison, une équipe en salle juste comme j’aime, attentionnés, s’adaptant aux clients…

Je ne vais pas m’étendre sur la qualité des mets, les cuissons sont parfaites, les jus sont magnifiques, mais je vais en remettre une couche sur ce qu’a dit Inès… la mousse au chocolat est une tuerie absolue qui vaudrait presque de n’y aller que pour ça… !

Bref c’est un endroit super, on s’y sent bien, on y mange bien et on a très très envie d’y retourner !

Adresse : 23 Rue Melingue, 75019 Paris

Site internet : http://www.mensae-restaurant.com/

11e arrondissement, Paris

Le Bistro Méricourt, le 11e arrondissement toujours gagnant

novembre 2, 2014
Le bistro méricourt

Alors que nous étions partis pour tester un des nombreux restaurants à succès (justifié ou pas) de la rue Richer à Paris, nous avons changé de destination pour faire un virage à 180° et rester dans le 11eme arrondissement.

En effet, en passant devant le Bistro Méricourt (alors que je me rendais chez mon coiffeur Nicolas Waldorf, mais au final ce détail a t’il vraiment de l’importance ?) qui était en préparation pour le service du soir, l’ambiance m’a plus, un bon feeling associé à une carte qui avait l’air originale, il ne nous en fallait pas plus ( ajouté à cela notre fainéantise) pour modifier nos plans. Grand bien nous en a pris.

Le bistro méricourt - décoration

Nous nous sommes donc attablés au comptoir de ce restaurant récemment repris en aout 2014, pour faire face au nouveau propriétaire et à la cuisine ouverte. Une première pour eux puisque personne n’avait eu l’idée de leur demander de manger au comptoir, pourtant parfait pour cet usage.

A la carte du Bistro Méricourt, un choix restreint mais intéressant, fidèles à notre nouveau credo «  testons ce que nous ne mangeons pas à la maison » Louis se lance sur des escargots de bourgogne confits au chorizo, polenta verte, disons le simplement, une tuerie.

Le Bistro Méricourt- escargots de Bourgogne

Quant à moi, je prends la nouveauté de la carte : ravioles de porc, basilic thai et aubergines grillées. Peut être un peu trop frites à mon gout, les ravioles ( elles brillent un peu trop), mais la farce est goutue.

Le bistro méricourt-Raviolis Thai

Et c’est là que la magie du restaurant opère : nos assiettes sont finies, plus finies que ça ce n’est pas possible. Le chef lève la tête de ses plats et nous demande si cela nous a plu avec un grand sourire, et accent du sud ouest. Louis hyper enthousiaste ne tarit pas d’éloge sur son plat, moi en bonne femme que je suis, je ne peux m’empêcher de revenir sur cette cuisson des ravioles. Le chef m’écoute me sourit et me dit qu’il doit faire des ajustements mais qu’il apprécie mon retour.

Pour le plat, same player play again : même raisonnement, même résultat.

Louis se charge de faire un sort au chausson de pigeon au foie gras chou rouge et abricots braisés. Quand je m’occupe du filet de rouget rôti, langues d’oiseau à l’encre de seiche et chipirons sautés. Autant dire un vrai pari pour moi. Les chipirons c’est pas trop ma tasse de thé, mais on se dit que l’entrée à ouvert un champ de possible qu’il ne faut pas laisser se refermer alors, soyons fous. Et le pari a payé ! Mis a part le fait que je suis ressortie avec une bouche noire à faire palir le pingouin dans Batman, les chipirons était justement cuits, pas du tout caoutchouteux, une re-découverte pour moi.

Le bistro Mericourt - chausson de pigeon

Le bistro Mericourt - filet de rouget

Assiette rendue nickel, le chef du restaurant passe à nouveau une tête, on lui témoigne notre contentement, il est ravi, ca tombe bien nous aussi !

Quant au dessert, léger moment de flottement pour savoir si c’était raisonnable. Bien sur ça ne l’était pas. Bien sur on en a pris un. Un chacun !

Direction la mousse au chocolat, ganache chocolat-yuzu et sorbet framboise pour monsieur. Un bon dessert, mais moins original que ce que l’on a pu manger jusque ici.

Le bistro Mericourt - mousse au chocolatLa révélation est dans celui que j’ai pris, avec hésitation reconnaissons le : le velouté de topinambour et vanille, raisins poêlés, glace verveine. Une association culottée entre ce légume oublié et la star des desserts, mais une association qui fonctionne. Quant aux raisins poêlés, ce petite côté chaud est des plus agréable avec la glace si ce n’était la présence des pépins dans le raisin… quelque chose que je n’apprécie que moyennement, sans pour autant m’empêcher de ne pas en laisser une miette.

Le Bistro Mericourt - velouté de topinambour

Le service se finit pour l’ensemble du restaurant, le chef sort de sa cuisine, viens nous voir, remarque les pépins. S’ensuit une discussion sur l’intérêt de ne pas les enlever. Pour le chef, c’est synonyme de craquant, pour moi d’amertume qui gâche les saveurs de son dessert. On échange, on débat. Au final je crois que j’ai gagné, mais il faudra que je vienne diner à nouveau pour vérifier.

Toujours est il que pouvoir VRAIMENT discuter avec le chef d’un restaurant parisien avec un tel niveau de plat est assez rare pour pouvoir être relevé et apprécié.

Niveau prix : comptez 10€ l’entrée, 16-25 € pour le plat, 8€ pour le dessert. Les prix montent avec le vin qui nous a clairement plombé l’addition.

Pour conclure : une ambiance musicale décalée (on ne vous en a pas parlé mais vous la découvrirez par vous même), un patron et un chef hyper disponible, il ne nous en fallait pas plus pour en faire un coup de cœur.

Ce qui pèche alors ? L’adition que je trouve un peu salée pour la quantité dans l’assiette et le vin bu (2 verres et 50 cl d’une bouteille). Louis vous dira que pour la soirée que l’on a eu c’était justifié, mon esprit plus cartésien dira que quand même à ce prix on a déjà fait beaucoup mieux ;-) En résumé, on reviendra, mais on boira moins.

 

L’avis de Louis sur le Bistro Méricourt :

Oui c’était justifié ! :) Y’a deux types de resto pour moi, celui où t’es content de payer et celui où t’es pas content de payer (ma vision binaire du monde est certes discutable..), et bien là j’étais content ! Franchement une très très bonne surprise, le patron et le chef ont le vrai sens du service, vous savez celui qu’on a perdu dans la plupart des commerces en France (ou au moins de Paris), mais si souvenez-vous!

Les plats sont recherchés, innovants, travaillés avec amour par le chef qui est d’un enthousiasme communicatif et qui vous tirera le plus grand des sourires ! Je ne peux que conseiller de manger au bar, sauf si vous êtes beaucoup, mais à deux ou trois, ça se fait sans problème et ça permet de pouvoir discuter avec le patron et le chef, qui prendront le temps d’un mot même en plein rush.

Franchement, un bel endroit, tout neuf tout frais, il faut espérer que cette super ambiance perdure mais il n’y a pas de raison que ce ne soit pas le cas.

Je conseille vraiment, j’insiste !

 

Coordonnées : 
Le Bistro Méricourt, restaurant bistronomique
22, rue de la folie méricourt
75 011 Paris
01 43 38 94 04
Site internet du restaurant : Le Bistro Méricourt
17e arrondissement, Everything, Nos restaurants préférés, Paris

Le Coretta, véritable petit joyau du 17e

septembre 26, 2014
Coretta

Lorsque nous avions signé notre PACS il y a plus d’un an de cela, nous étions en quête d’un restaurant à Paris pour fêter cela. Sur recommandation d’un de nos amis nous avions réservé une table au Neva ( 2, rue de Berne – Paris 8) tenue par la chef Beatriz Gonzales. Nous gardions un souvenir mémorable de ce moment et tout particulièrement du dessert. (mais à l’époque, point question de blog, alors il faudra y retourner.)

Tout cela pour dire que l’année dernière, lorsque nous avons entendu que Beatriz Gonzales avait ouvert un nouveau restaurant, Le Coretta, il fallait évidemment qu’on le test.

Les choses prenant parfois un peu de temps chez nous… , ce n’est qu’en septembre 2014 que nous avons enfin poussé la porte de ce restaurant parisien, en pleine hype.

menu coretta

Décor design et tendance, deux choix de places sont possibles ( à préciser au moment de la réservation) : en bas pour avoir une vue sur la cuisine ouverte (si vous êtes à deux ou à 4, demandez à être sur les tables hautes près de la cuisine, la vue est imprenable sur l’activité durant le coup de feu). A l’étage, vue sur le parc Martin Luther King.

Le menu est assez court mais varié et laisse un choix équilibré entre terre et mer.

Un effiloché de raie pour moi (original avec un accompagnement d’ail noir citronné qui se marie très bien.) Mais sur ce coup, je dirai que Louis a fait le meilleur choix avec son œuf parfait/salers/Oignon doux des Cévennes/ graton. Peut être plus conventionnel mais parfaitement exécuté avec un œuf mollé coulant à souhait.

effiloché de raie

effiloché de raie

 

 

L'oeuf parfait

L’oeuf parfait

Pour les plats, la prise de risque est inversé (la décision a été prise d’arrêter d’aller trop facilement vers des plats classiques et de faire confiance aux chefs et à leurs équipes dans ce qu’ils mettent au menu de leur restaurant). Ainsi je me suis dirigée vers une entrecôte de Galice / Echalote grises/ Carottes / Pommes de terre de Noirmoutier.  Peut être ici la seule anicroche de la soirée : la viande n’est pas au niveau de tous les autres produits proposés, un peu dur alors qu’on attend quelque chose de saignant et tendre. Les légumes sont en revanche parfaitement cuits.

Louis tente de son côté la spécialité de la chef : ris de veau crousti fondant /poireaux/oignons/eringil jus. Nous avons trop d’a priori sur les abats (génération qui n’a pas forcément grandie avec ces morceaux de viande dans son assiette). C’est un peu la révélation pour nous. Le ris est bien croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, gustativement étonnant, mais totalement plaisant.

Plats

Pour clore ce festival, nous avons fait le choix de ce qui semble être la spécialité du restaurant : brioche/cannelle/caramel/ glace vanille. Un chef pâtissier est en cuisine, et ça se sent. Tous les desserts qui sortent devant nos yeux sont une réussite qui nous aguiche. Mais commander deux desserts seraient au delà de la gourmandise et risquerait de gâcher la fin de ce repas succulents. Nous nous « limitons » donc à cette brioche, que nous avons du mal à finir. La texture est délicieuse, la cannelle subtile et la glace vanille maison nous ravisse.

dessert brioche

Pour le vin, nous avons choisi un Chassagne – Montrachet à 55€ la bouteille. Disons le simplement, c’est une tuerie. La carte commence à un peu moins de 30€ avec quelques choix de vins au verre.

Enfin le service est prévenant et efficace sans en faire trop, ce que nous apprécions tout particulièrement.

L’addition : un menu à 39€ entrée/plat/dessert, avec quelques suppléments qui se baladent (mais quand même moins qu’au Neva).

Pour résumer : courrez – y ! Les réservations ouvrent 15 jours en avance.

L’avis de Louis sur le Coretta :

Tout ce que j’aime ! J’avais déjà adoré dîner au Neva, l’autre adresse de la patronne, mais là tout aussi surpris et enchanté ! Vous allez me dire, il lui en faut pas beaucoup à lui, il suffit qu’il voit les casseroles et qu’on lui serve des trucs qu’on trouve pas au flunch et il en fait tout une histoire ! C’est un peu vrai, mais ça me fascine de voir la brigade bosser, de voir la patronne gérer cette équipe et voir la magnifique brioche en photo au dessus gonfler dans le four, préparée par le pâtissier de l’équipe (dont la présence, rare dans un resto dans ces prix, change vraiment la fin de votre repas!)

J’ai fait original, j’ai pris des choses que je n’ai pas vraiment l’habitude de prendre, mais tout était excellent, avec plein de goûts différents, de textures contradictoires et qui rendent l’ensemble vraiment top!

De mon point de vue les meilleures tables du Coretta sont celles près de la cuisine, et il n’y en a que deux alors il faut réserver vite! Je n’ai pas vu l’étage, j’étais trop plein à la fin du repas pour me taper les escaliers, mais j’insiste encore une fois le clou du spectacle c’est en cuisine !

 

Coordonnées :

Le Coretta
151 bis rue Cardinet
75017 Paris
01 42 26 55 55
14e arrondissement, Paris

Le Cette, bienvenu dans le 14e

août 11, 2014
Le Cette

Le Cette : un restaurant/bistrot de qualité dans le 14arrondissement de Paris. Pour trouver ce restaurant, il faut soit en avoir entendu parler, soit habiter dans le quartier. Impossible ou presque de tomber par hasard sur le Cette et de pousser la porte pour voir ce qui s’y passe.

L’endroit est charmant, et compte peu de tables. Le bar est la pièce maitresse du lieu qui lui donne toute sa majesté et son charme peut être légèrement surannée. La patronne, Patricia, vous accueille avec son accent italien et vous installe sur une table où la décoration est limitée au strict essentiel.

Entrée

Le Cette – entrée

Le poisson

Le Cette – Plat

Le dessert

Le Cette – dessert

Le menu, qui change tous les jours, vous est présenté sur une ardoise. Entrée/plat/dessert, voici le tryptique gagnant. Deux choix pour chacun. 18€ si vous vous sentez en petite forme (entrée /plat ou plat/dessert), 22 € pour le grand chelem, pourquoi s’en priver ? A chaque fois que nous y sommes allés (nous ne sommes pas à notre premier coup d’essai avec ce restaurant parisien, avouons-le) il y avait une soupe/velouté en entrée. A chaque fois l’un de nous l’a pris, et c’était, comment dire… une tuerie ! Cette fois-ci, le velouté glacé de carottes des sables nous a tout simplement surpris. Une texture incroyable, légère mais présente, un gout inattendu pour un velouté de carotte, une vraie douceur. De mon côté les rillettes d’aubergine et saumon d’Ecosse tenaient la route aussi. Mais après avoir gouté le velouté, j’ai regretté mon choix (alors qu’elles étaient très bonnes). Côté plat, choix unique de notre table pour un dos de lieu jaune, bisque de homard breton, pleurottes et flageolets. Avis unique : un délice. Les flageolets étaient un choix un peu audacieux en terme de texture qui est peut être le bémol du plat, mais la sauce et le poisson compensent largement. Le dessert, mousse de fruits rouges, ne vaut pas forcément que l’on s’y attarde, même s’il est de qualité, gustativement il manque quelque chose pour vraiment s’extasier, ce petit coté acidulé des fruits rouges que l’on n’a pas retrouvé.   Le plus : le lieu et son ambiance (merci Patricia), la qualité des produits et la carte renouvelée Les moins : Une petite déception sur le dessert, mais rien de grave en soi.

L’avis de Louis sur le Cette :

Alors moi je pense que ce n’est pas un accent italien, j’hésite entre polonais et chypriote mais je vous invite à en débattre, mais quelque soit l’accent, ça n’enlève rien au charme de l’endroit, on y mange bien, c’est préparé avec soin, la sélection des vins est pas mal du tout et y’a de l’ambiance, la patronne gère l’affaire avec de la poigne! Les veloutés sont toujours à tomber et le plat recherché est bien exécuté. Le dessert n’est pas flamboyant mais bon ça finit bien le repas quand même! Un bémol quand même : impossible de se garer dans la rue, heureusement qu’il y a le souterrain du boulevard, oui c’est un bémol très personnel et qui n’a rien à voir avec le resto…

Coordonnées :

Le Cette
7 Rue Campagne Première
75014 Paris 
01 43 21 05 47
Site Internet « Le Cette »